Cher Antoine G.
De tous mes fervents lecteurs (une véritable marée humaine, restons modeste), tu es le seul à m’avoir dit travailler activement à réunir la somme nécessaire à mon retour rapide à Tokyo. Sachant tes talents d’inventeur et ta manière bien personnelle d’être persévérant, je crois que tu aurais certainement réussi, au bout de quelques années, à sponsoriser plusieurs centaines de kilomètres d’avion. Cher Antoine, je te délie de tes promesses de soutien financier et je t’invite à ne plus travailler que pour toi-même et tes chers étudiants endormis. Me voici en effet de retour dans cette mégalopole de mon coeur, l’oeil aux aguets, le nez au vent, les écoutilles ouvertes et la main sur le clavier. Ahrizgateau reprend et, pour ta gentillesse, je t’en dédie les tous nouveaux billets !
Et bien moi aussi je suis bien contente que tu sois retournée au Japon et je continuerai à lire Ahrizgateau. Ici on pourrait peut-être écrire Ahrizlentille…mais je ne sais pas pourquoi mais c’est plus rustique (ou pas assez sweet ?)
Amicalement