Les bons mots
A côté du chinois, réservé aux seuls musiciens capables de différencier ses quatre tons, ou des langues de l’est qui accumulent parfois jusqu’à cinq consonnes successives, le japonais c’est de la gnognote. Toutes ses syllabes existent dans notre bon vieux français. On peut donc aisément se taper les cuisses en inventant une blague à consonance japonaise, attention seulement à parler très vite mais pas de façon tching gnang tong (là, c’est du chinois mal caricaturé – rien à voir).
Je vous en livre une, histoire de rigoler un coup : que dit-on à un garçon qui vient d’être largué ? Tananatakite (ha ! ha!). Allez, une autre parce que c’est vous. Comment dit-on « jupe » en japonais ? Oraduku ! Fin et élégant. Bon, et pour élever le débat comme le conseillerait ma maman, je promets de m’efforcer de trouver mieux pour ce blog. Quelque chose de plus… teikoku (impérial, donc). Bonne lecture !